•      La Grèce, pays où le Soleil chauffe doucement les cœurs, où les paysages montagneux se mélangent à la mer si proche.  C'était sur l'île de Rhodes que le comité d'entreprise de ma mère avait organisé un voyage. Cela faisait deux ans qu'il était prévu. 

        Le lendemain de notre arrivée en Grèce, mes parents voulurent commencer à visiter. Le matin, nous n'avons pas bougé de l'hôtel mais après avoir mangé, nous sommes sortis de l'enceinte de l'hôtel car devant se trouvait un arrêt de bus. Mes parents s'étaient procurés les horaires de passages des bus

    Nous voilà donc rendus au l'arrêt de bus sous le Soleil de plomb du début d'après-midi. Un premier bus passe mais ne va pas au village dans lequel nous allons. Nous attentons encore. Quelques minutes plus tard, un second bus arrive. Cette fois, nous montons dedans. Nous voilà en route pour Lardos. 

    Mon père paye au chauffeur les tickets de bus. Pendant ce temps, ma mère, mon frère et moi montons. Mon frère se met à côté de ma mère, je me met derrière eux. Aussitôt, mon père vient se placer près de moi. Nous ne sommes pas les seuls dans le bus. En effet, il y avait également un groupe de garçons d'à peu près mon âge. Mon arrivée avait créé une sorte d'émeute. Ils étaient plus agités depuis que nous étions montés dans le bus. 

    En fait, leur agitation venait bien de moi. Le plus vieux du groupe s'est déplacé afin de se rapprocher de moi. Il y avait pourtant mon père entre nous deux. Ses copains parlaient vite et fort. A un moment, le chauffeur du bus s'est mis en colère en haussant la voix après eux pour les gronder. Aucun d'eux ne s'arrêta sauf le garçon qui s'était rapproché de moi. Ce fut lui, qui ensuite, éleva la voix. Étrangement, tous les autres se turent.

    Enfin, nous arrivèrent à Lardos. L'arrêt auquel nous descendîmes était au cœur du village typique. nous étions sur une place ronde. En face de nous se trouvait une fontaine et derrière nous, il y avait trois restaurants qui entouraient la place. Près de la fontaine, on pouvait aller faire nos course dans un modeste supermarché qui ne payait pas de mine.  

    Franchement, en regardant bien tout autour de moi, je me demandais ce qu'on était venu faire ici. Mes parents quittèrent la place et je les suivis. Quelques mètres plus loin, nous avons trouvé un panneau dessiné à la craie du village. Comme je le craignais quelques minutes plus tôt, il n'y avait rien d'intéressant à voir ici sauf peut-être l'église. 

    Parlant de la direction que nous devions prendre, nous ne vîmes pas venir un couple de touristes. Le couple nous demanda si nous étions également Français. Il était tellement improbable de voir des compatriotes dans ce petit village perdu que mes parents entamèrent une conversation avec le couple. C'était deux personnes âgées plutôt souriantes et en pleines formes.  Eux aussi avaient décidé de visiter Lardos. 

    C'est alors que nous allons tous ensemble à l'église, le seul endroit intéressant dans ce village de pauvreté. Je ne dis pas que le village en lui-même est inintéressant. Au contraire! Je n'avais jamais pu voir autant de pauvreté de mes propres yeux. Les immeubles abîmés par le temps semblaient sur le point de s'écrouler. A la place des habitants, j'aurais peur de me retrouver un jour sous les décombres d'une telle habitation. 

    Je ne sais comment nous avons fait mais nous avions réussi à nous perdre dans ce village. De retour sur la place principal, mon père remarque un groupe de jeunes à peine âgés de 10 ans. Mon père en a accosté un et a essayé désespérément de lui demander comment nous rendre à l'église. Comme il est absolument nul en anglais, je lui viens en aide. Cette fois, le petit garçon comprend et étonnamment il me comprend parfaitement et se met à me parler en Anglais, demandant qu'on le suive. Ce gamin parle mieux Anglais que moi! Bref, nous l'avons suivi et il nous a conduit jusqu'à la fameuse église avant de partir. 

    Je l'observais. Elle était plutôt petite mais un mot me venait à l'esprit en la regardant: lumineuse. La pierre de la façade était d'un blanc immaculé qui semblait presque reflétait les rayons du Soleil. Cela changé vraiment de chez nous avec une pierre grossièrement taillé en blog et grise, terne. C'était un autre mode de constructions. Contrairement à chez nous, il y avait aussi une sorte de petit jardin. Au sol, se trouvait une mosaïque faite à partir de galets dessinant des arabesques ou des fleurs selon mes souvenirs. Je me souviens aussi d'une phrase que je n'avais pas comprise car elle était écrite à l'aide de lettres grecques. Nous ne sommes pas entrer dans l'église. Ma famille et moi avons laisser le couple de petits vieux sympathiques à cet endroit et nous sommes, ensuite, redescendus à la place central de Lardos. 

    Là, nous avons dû attendre le bus. Deux heures entières à attendre sur cette place! Que ce temps va être long! Nous nous asseyons à l'ombre avec ma famille et nous observons le théâtre qui se déroule devant nos yeux.

    Les voitures défilent sur la place. Les gens conduisent n'importe comment en Grèce! Une voiture s'arrête et se gare au beau milieu de la route! Nous n'en revenons pas! Une moto se gare sur une place et le motard s'en va en laissant les clefs sur sa moto. Les gens ne portent pas de casques pour se protéger en cas de chute et les voitures sont de vraies épaves. 

    La place s'anime encore plus lorsque les enfants décident d'y venir pour disputer une partie de foot. Leur terrain improvisé se trouve être le trottoir mais aussi la route! Ils y foncent même si des voitures approchent , obligeant ces dernières à freiner d'urgence. 

    Enfin, le bus arrive. Nous montons dedans et nous retournons à l'hôtel. 


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  • Les trois adolescents avaient pénétré à l'intérieur de Poudlard depuis quelques minutes. Ils progressaient avec prudence dans le silence le plus complet. Rose regardait partout autour d'elle à chaque pas. C'était la plus attentive des trois et également celle qui avait le plus peur. Elle serrait le livre écrit par Winterslow contre sa poitrine. Alors qu'Albus progressait en tête, Scropius jeta un regard vers la rousse. Il ralentit de façon à ce qu'elle se retrouve à sa hauteur et il posa une main sur son épaule. Elle leva la tête vers lui et découvrit qu'il lui souriait. Elle lui rendit son sourire et il reprit sa marche silencieuse en reprenant également son plus grand sérieux.

    Le calme qui les entourait ne leur inspirait pas confiance. Ce silence pesant les angoissé. Pourtant, rien se semblait montrer que des lycanthropes étaient encore présents. Rose pensa alors à son frère. Elle espérait qu'il aillait bien tout comme ses cousins et cousines. Albus était agité par les même pensées que la rousse. Ils ne savaient pas ce qui avait bien pu se passer après leur fuite. Rose n'avait qu'une crainte, perdre une personne qui lui était chère à nouveau.

    Les lieux étaient définitivement déserts. Il ne servait plus à rien de rester sur ses gardes. Leur vigilance avait baissé. Ils progressaient et contemplaient l'ampleur des dégâts. Certains murs étaient abîmés et semblaient même menacer de s'écrouler.

    "Rose, Poudlard est grand, tu sais où chercher? l'interrogea Scorpius.

    -En toute logique... nous devrions aller dans les profondeurs de Poudlard... puisque le château a été construit sur les ruines du champ de bataille décrit par Winterslow.

    -Direction les fondations dans ce cas!"dit Albus.

    Les trois adolescents se dirigèrent vers les passages descendants aussi profondément que possible sous le niveau du sol. C'était maintenant Scorpius qui avait pris la tête du groupe, les sous-terrains de Poudlard étaient mieux connus par lui que par la Serdaigle et le Gryffondor. Ils passèrent devant les cachots et Scorpius s'arrêta devant un escalier. Albus fronça les sourcils.

    "Avances.

    -On ne peut pas, ça se servirais à rien, répondit calmement le blond.

    -Pourquoi ? l'interrogea Rose.

    -Cet escalier ne mène nulle part.

    -Que veux-tu dire?

    -Il s'arrête net un peu plus bas, face à un mur.

    -Quel est l'intérêt de l'avoir construit dans ce cas?

    -Il n'y en a pas.

    -Un passage secret? proposa Rose.

    Scorpius la regarda.

    -Si c'était le cas, il serait connu depuis longtemps. Surtout des Serpentards mais ce n'est pas le cas. Il n'y a rien en bas, juste un mur."

    Scorpius avait l'air sûr de ce qu'il avançait et Rose n'insista pas. Ce ne fut pas la même chose pour Albus. Il regarda le blond et sa cousine avant de descendre dans les escaliers. Rose lui emboîta le pas, ne souhaitant pas le laisser seul et ce fut avec un grognement d'exaspération que le Serpentard descendit à son tour.

    Ils arrivèrent effectivement devant un mur. L'escalier se coupait net à cet endroit.

    "Vous voyez!"

    Albus jeta un regard noir au blond qui le lui rendit. Rose s'approcha jusqu'au mur et elle posa une de ses mains contre la paroi solide et glacée formée par la pierre. Rien ne se produisit. Scorpius était exaspéré, il trouvait que rester là était une perte de temps. Albus pensait comme lui. Le brun dit à sa cousine qu'il était inutile de rester ici, qu'ils ne trouveraient rien, autant remonter et chercher dans un autre endroit.

    Cependant, Rose refusa de les suivre. Elle était certaine qu'il existait un passe à cet endroit précis. Scorpius haussa le ton, énervé par son entêtement. Albus, ne supportant la façon dont le blond se mettait à crier sur sa cousine, prit la défense de la rousse.

    "Mais taisez-vous! Vous ressemblez à des enfants! Grandissez un peu!", finit par s'impatienter Rose à qui les cris commençaient à lui donner la migraine.

    Aussitôt, les deux garçons se turent comme si l'intervention de Rose était magique. Il faut dire que quand elle haussait le ton, elle pouvait devenir assez effrayante. Tentant une dernière tentative de trouver quelque chose sur le mur, Rose toucha du bout des doigts les pierres. Elle tenait le livre de Germain Winterslow.

    Tout à coup, le mur se mit à trembler. Prise d'un élan de panique, Rose sursauta et s'éloigna en un bond.

    Devant eux, un passage secret venait de s'ouvrir. Le mur avait laissé place à la suite de l'escalier. Il faisait encore plus sombre qu'avant. Rose était en tête et sans attendre la moindre parole de l'un des deux garçons, elle descendit.

    "Rose! Attends, ça pourrait être piéger! s'exclama le cousin de la rousse.

    -Al, tu t'inquiètes trop. Il était déjà bien assez caché pour qu'en plus il soit piéger. "

    Le brun marmonna quelques paroles incompréhensibles mais suivit sa cousine prêt à intervenir si la moindre chose suspecte se produisait. Il ne permettrait pas qu'il arrive un malheur à sa cousine adoré. Scorpius fermait la marche, tout aussi attentif que le garçon devant lui. Le livre de Winterslow avait été la clef permettant l'ouverture de ce passage, qui aurait cru que Poudlard avait encore un secret comme celui-là?

    Ils descendirent pratiquement dans le noir pendant une dizaine de minutes. Cet escalier avait-il réellement une fin? Et d'ailleurs, où le conduiraient-ils ?

    Enfin, ils arrivèrent en bas de l'escalier. Ils se trouvaient dans une très grande pièce dont ils ne voyez même pas le bout. Partout autour d'eux, ils pouvaient voir des ruines datant d'une guerre passée.

    "C'est ... lugubre, commenta Scorpius avec un rictus à la fois amusé mais aussi inquiet affichait sur son visage.

    -Pour une fois qu'on est d'accord", lui répondit le brun qui était juste devant lui.

    Les deux garçons continuèrent de commenter le lieu dans lequel ils venaient d'arriver. Rose, quant à elle, avançait, à quelques mètres devant elle se trouvait une table envahie par la verdure. C'était une table d'une taille moyenne faite en pierre. Une pierre usée par les siècles traversés mais, étrangement, cette destruction dû au temps n'avait fait que l'embellir. Elle semblait tout droit sortie d'un univers fabuleux où l'Homme aurait vécu en harmonie avec la nature. Rose se sentie fasciné par cet ouvrage pourtant d'une grande simplicité.

    En s'en approchant, elle pu remarquer quelque chose d'étrange au centre de la table. La jeune fille fronça les sourcils.

    "Les garçons, venez voir!"

    Inutile qu'elle dise un mot de plus, son cousin et Scorpius l'entourait déjà. Rose leur montra du doigt le centre de la table.

    "Un trou? Quelle drôle d'idée, et alors? demanda Albus.

    -Imbécile, regardes mieux, lui répondit le blond. Il y a juste assez de place et la forme de faire passer le livre de Winterslow."

    Scorpius avait vu exactement la même chose que Rose. Elle se mit donc sur la pointe des pieds afin de poser le fameux livre, qu'elle tenait toujours à la main, dans l'emplacement. Aussitôt, le sol se mit à trembler, la Serdaigle perdit l'équilibre mais fut rattraper dans sa chute par Scorpius qui se trouvait alors juste derrière elle. Être dans les bras du blond la troubla un instant.

    "M-merci.

    -De rien. Par contre, t'es pas légère Weasley."

    Le trouble de Rose se dissipa immédiatement et elle s'écarta vivement du Serpentard sous le regard mauvais qu'Albus portait à Scorpius. D'où ce blondinet décoloré osait-il d'une part, rattraper sa précieuse Rose à sa place, et d'autre part, de lui dire qu'elle était lourde ? Surtout qu'elle était bien loin de l'être. Albus qui avait toujours cru que Malefoy savait parler aux filles se rendit compte que ce n'était apparemment pas toujours le cas.

    L'attention de Rose se reporta sur la table qui avait tout simplement disparu. A sa place, se trouvait un escalier. Rose entendit clairement son cousin soupirait derrière elle. Encore un escalier?! Mais jusqu'où allaient-ils descendre? Et surtout, il fallait remonter par la suite! Remonter toutes ces marches déprima déjà le brun.

    Ils descendirent donc encore plus bas sous terre. Étrangement, une brise légère provenait du bas de l'escalier. Qu'allaient-ils trouver une fois en au bout? Albus espérait tout simplement ne pas devoir descendre d'avantage encore.

    Enfin, ils arrivèrent tous les trois dans une salle illuminé magiquement. Là aussi, la verdure de la Nature avait repris ses droits avec les siècles passés. C'était une petite salle au centre de laquelle se trouvait une étrange machine. Les trois sorciers s'approchèrent avec curiosité. Ils n'avaient jamais rien vu de semblable. Cette machine sortait tout droit d'un roman de science-fiction. Elle était énorme comportant une sorte d'écran au-dessus d'un clavier comportant deux boutons. Rose tenta d'en appuyer sur un pour voir si quelque chose se passait mais rien ne se produisit.

    "C'est sans doute trop vieux, commenta Scorpius.

    -Peut-être..."

    C'était déçus que les trois adolescents remontèrent tout l'escalier et s'en allèrent de Poudlard pour retourner dans la résidence de Scorpius. Finalement, le livre de Winterslow ne les avait mené nulle part.

    Rose n'arriva pas à trouver le sommeil ce soir-là. Elle se leva et sortit devant la maison, dans le jardin. Là, elle s'assit dans l'herbe. La jeune sorcière leva sa tête vers la Lune et l'observa en silence. Elle s'inquiétait pour ses amis et ses proches, alors elle craqua et se mit à pleurer. Elle s'en voulait d'être ici, en sécurité alors que les siens pouvaient très bien être en fâcheuse position. Ils n'avaient ne savaient même pas ce qu'il se passait dans la communauté sorcière à l'heure qu'il était.

    Une main se posa sur l'épaule de Rose ce qui la fit sursauter. Elle tourna vivement la tête et reconnue Scorpius. Rose sécha alors aussitôt ses larmes ne voulant pas que le Serpentard la voit dans cet état. Elle ne voulait pas paraître faible... Non, elle ne voulait pas être faible.

    "Il est tard, tu devrais dormir.

    -Toi aussi.

    Un léger sourire naquit sur les lèvres du blond.

    -Peut-être, je suppose que nous sommes ici pour la même raison.

    Rose haussa les épaules. Pourquoi ne disait-il pas les choses simplement? Lui aussi était-il inquiet?

    -Rose, tu pleurais, n'est-ce pas?

    Le fait qu'il l'appelle par son prénom perturba un peu Rose.

    -Peut-être.

    Elle refusait bien entendu de l'avouer. Scorpius s'assit près d'elle en silence. Il regarda la Lune pendant un moment tandis que Rose faisait de même. Aucun des deux ne parla. Parfois, le silence en dit bien plus que les mots. Ils restèrent ainsi un long moment. Puis, Scorpius se leva.

    -Je rentre, et toi?

    Rose secoua négativement la tête. Le sommeil ne viendrait pas à elle et elle le savait parfaitement. Elle n'avait pas envie de retourner dans sa chambre, cet espace clos.

    -Les nuits sont fraîches, tu vas attraper froid si tu restes trop longtemps dehors.

    -Cela m'est bien égal.

    Scorpius la regarda quelques secondes. Il enleva la veste qu'il portait et lui mit sur les épaules.

    -Si tu tombé malade, je m'en sentirais responsable."

    Ensuite, il partit laissant Rose se perdre dans sa rêverie en regardant la Lune.


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  • Hello, hello, j'ai changé le thème de mon blog auparavant bleu et cette fois, comme vous pouvez le remarquer, il est rose. Peut-être trop girly? Je m'excuse d'avance pour les visiteurs masculins s'il y en a. Ce blog est un reflet de ma personnalité et j'avais envie de le faire rose en ce moment. En tout cas, j'espère qu'il vous plait tout de même. Si vous avez des remarques à faire dessus, n'hésitez pas, je prend les critiques qu'elles soient bonnes ou mauvaise.  Je pense que ce thème ne restera pas longtemps. 

    New thème

    Kiss kiss ♥

     


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  • Il s'agit du deuxième thème que je met sur ce blog depuis ce soir, le premier étant ICI. J'avais prévenue qu'il ne s'agissait que d'un thème de passage puisque j'étais las de l'ancien et que je trouvais l'autre  trop rose. Alors voilà celui-ci. Je le trouve assez sobre mais coloré et neutre (je veux dire par là qu'il n'est pas trop trop féminin ni masculin). C'est un thème qui me plait assez. Je pense que je vais sans doute le garder un bout de temps. 

    Encore un nouveau thème

     

    Une version améliorée du 13/06/2015:

    Encore un nouveau thème

     

    J'espère qu'il vous plaît autant qu'à moi.

     


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  • Comment devient-on partenaire de ce blog? Et bien, il te suffit de poster un commentaire sur cet article avec les renseignements demandés:

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    Une fois cela fait et que j'aurais accepté (autant que je sois au courant hein ! ^^) et bien , je mettrais ton bouton avec le lien de ton blog dans un des menus de mon blog. En contrepartie tu fais de même sur ton blog.

    Petite info, les boutons sur le menu sont de la dimension 88x31. Si votre bouton n'est pas de cette dimension, ce n'est pas grave, je le redimensionnerai. 

    Voici mon bouton et l'adresse de mon blog:

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    http://angel-zone.eklablog.com

     


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  • Si vous aimez lire tout comme moi, alors vous êtes dans la bonne rubrique. Sur le net, sachez qu'on peut trouver des sites où les internautes publient leurs fictions. Ces fictions peuvent se lire gratuitement et vous pouvez alors avoir un très large choix de lecture. En revanche, certaines sont mieux écrites que d'autres. 


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  • C'est un site en Anglais où vous pourrez lire uniquement des fanfictions. Pas de panique en ce qui concerne l'Anglais, une fois la catégorie sélectionnée (exemple: "Manga" puis "Naruto"), vous pourrez affinée votre recherche afin de trouver exactement ce que vous souhaiter. Vous pouvez choisir donc la langue dans laquelle vous voulez trouver la fiction, les personnages principaux et le genre de la fiction. Franchement, c'est un site que j'aime beaucoup et sur lequel je vais depuis des années. En vous créant un compte, vous pouvez même publier vos fanfictions. Ma fiction, A Cause d'une Simple Bousculade est d'ailleurs publiée sur ce site avant de se retrouver ici puisque je l'écris sur fanfiction.net.

    Si vous souhaitez vous rendre sur le site, cliquez ICI.

    Fanfiction.net


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  • <3

    Un projet de fiction m'intéresse et j'hésite à le réaliser. Cette fiction se baserait sur un modèle à la mode en moment, les virginity games.

    Qu'est-ce que c'est? La fiction se passe dans un lycée. Un groupe de gars populaires, souvent trois ou quatre, jouent à un étrange jeu chaque année entre eux. A chaque début d'année, chaque "joueur" choisi deux filles vierges qui seront ses "pions". Il ne leur laisse pas le choix et pour bien montrer qu'elles sont choisies il leur met un bracelet à chacune ainsi tout le lycée sait qu'elles sont les "pions". Le but de chaque joueur et de coucher avec ses cibles et aussi si possible avec celles des autres  joueurs. A chaque fois qu'un joueur couche avec un pion, il lui enlève son bracelet et la fille ne fait plus partie du jeu. Le gagnant est celui qui a le plus de bracelets à la fin.  

    Voilà, voilà comment en gros ces fictions se basent. Après en avoir lu plusieurs très bien écrites j'aimerais en faire une aussi. Cependant, je préviens tout de suite que je ne ferais rien de très osés non plus! Ce que j'écris peut être lu par n'importe qui alors, oui, certains propos pourraient être un peu osés mais ne seront en aucun cas vulgaires et les scènes de sexe seront peu nombreuses et sous-entendues. Je ne compte pas les développer plus que ça car ce n'est pas sur ce genre de scènes que je compte basée ma fiction. 

    J'aimerais votre avis, pensez-vous que c'est une bonne idée? :)


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  • Je me souviendrais toujours de cette animatrice énergique. La première fois que je l'ai vu, c'était lors de la présentation des activités auxquelles nous pouvions participer. Alicia allait voir chaque adolescent, leur demandait leur âge puis leur proposait de venir jouer au fléchettes. 

    Elle était venue me voir, moi aussi. Elle parlait mal le Français mais faisait des effort. Je lui ai répondu en Anglais que j'avais 15 ans avant de me rappeler que j'en avais 16 et même bientôt 17 à ce moment. Je me suis sentie assez idiote, je dois bien l'avouer. Elle m'avait ensuite proposée de venir jouer au fléchettes et j'avais poliment refusé son offre. D'une part car une fille de mon âge que je connaissais depuis l'enfance était aussi dans ce voyage organisé et qu'elle avait refusé et d'autre part à cause de ma timidité. 

    La deuxième fois que je l'avais vu c'était le mardi. Cela faisait déjà trois jours que nous étions en Grèce. J'étais au bord de la piscine et j'avais vu qu'à l'ombre, Alicia apportait des bobines de laine à Julien et Lisa que je ne connaissais pas encore. Je m'étais approchée par curiosité et elle m'avait proposé de faire un bracelet brésilien. J'ai accepté. Alicia nous expliqua à tous les trois comment les faire. Je me suis appliquée pour le réussir. Puis, l'animatrice nous avait félicité et nous les avait accroché. D'ailleurs, à l'heure où j'écris, le bracelet est toujours autour de mon bras. 

    Le lendemain matin, j'étais venue au club ado dont elle s'occupait. Je me demandais si elle arrêtait des fois de sourire. Elle était sans cesse de bonne humeur. Quand on la voyait, on se disait que c'était une personne heureuse. Elle parlait toujours aussi mal le Français mais elle faisait beaucoup d'efforts pour nous parler qu'en Français sans passer par l'Anglais. Elle venait d'Espagne, de la ville de Valence pour être plus précise. Elle était jeune mais avait un âge impossible à déterminer exactement. Une fille m'a dit qu'elle pensait qu'Alicia avait 18 ans mais je trouvais cela peu probable. En réalité, elle en avait 25 mais elle faisait quand même plus jeune. Je lui aurais donné 22 au maximum. 

    Tout les soirs, elle dansait avec les petits avant que les animations ne commencent. Tout le monde l'appréciait. Je crois bien que c'était d'ailleurs l'animatrice la plus appréciée par les autres vacanciers et il était simple de comprendre pourquoi. On ne pouvait pas la détester, c'était tout bonnement impossible. 

    Je garde un grand estime de cette femme. Je voulais lui rendre hommage avec ce petit texte. 


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